Aimez la viande, mangez-en mieux !
L’interprofession INTERBEV choisit dans sa communication de prôner les valeurs d’une filière responsable et en démarche de progrès. Retrouvez la campagne de la saison 2021 « Aimez la viande, mangez-en mieux » pour porter les valeurs de la filière à travers des actions de communication dédiées.
Les campagnes “Naturellement Flexitariens”
Lancée en 2019 avec Ogilvy Paris, la première saison de cette campagne collective installait le personnage de Thomas, son mode de vie et de consommation responsables, définissant le flexitarien comme l’omnivore avisé du 21e siècle. Le 11 avril a démarré la saison 2, avec un nouveau film réalisé lui aussi par Romain Quirot, qui fait la part belle à de nouveaux flexitariens : les amis de Thomas, aux vies et habitudes très différentes et dont l’intention commune est de privilégier une alimentation variée et de qualité. Ils ne tiennent pas compte des injonctions sociétales et incarnent tous une manière de mieux manger, contemporaine et propre à chacun d’eux.
L’objectif de cette campagne ? Initier un dialogue sincère avec les consommateurs et leur montrer en quoi la filière Elevage et Viande a un rôle central à jouer pour mieux nourrir les Français dans le respect de la planète et du vivant : des Français qui sont « Naturellement Flexitariens ».
“AIMEZ LA VIANDE, MANGEZ-EN MIEUX.”
Au-delà de la diffusion des séquences du film publicitaire, le volet réseaux sociaux fait également l’objet de nombreuses publications autour du « manger sain, manger bon » et des engagements sociétaux de la filière Elevage et Viande pour le « manger mieux ».
Les internautes peuvent aussi retrouver plus d’informations sur ses engagements en matière de production responsable et durable sur le site Internet « Naturellement-flexitariens.fr », ainsi que le nouveau spot publicitaire.
Préparation sanitaire des broutards : Terrena pionnière
Depuis bientôt 15 ans, Ter’elevage est précurseur en termes d’innovation et d’accompagnement de la filière bovin viande en permettant aux naisseurs et engraisseurs de lutter contre les maladies respiratoires. Pour rappel, les pathologies respiratoires sont responsables de plus de 70% des troubles sanitaires en engraissement.
Depuis la création du contrat Broutard Max en 2006 et celle d’Alimax en 2020, Terrena ne cesse de performer pour proposer des solutions concrètes aux éleveurs.
Depuis décembre 2020, une nouvelle étape a été franchie avec la reconnaissance à l’échelle nationale !
Après plusieurs mois de concertations entre les différents acteurs régionaux et nationaux (FNB, commerçants indépendants, groupements coopératifs français, INTERBEV, IDELE), le cahier des charges INTERBEV «Préparation sanitaire des broutards » a été validé.Ce cahier des charges, largement inspiré du programme Broutard MAX déployé par Ter’elevage, permet au naisseur témoignant d’une vaccination effective de ses animaux contre les 3 principaux agents présents dans les maladies respiratoires, de prétendre à une rémunération complémentaire suivant un indicateur « coût de préparation ». Cette vaccination anticipée assure ainsi aux engraisseurs l’achat d’animaux protégés contre ces troubles respiratoires.
Cette stratégie de prévention vaccinale permet de limiter le recours aux antibiotiques, d’assurer une rentabilité économique des ateliers et le bien-être des animaux par la réduction des troubles sanitaires. Cette démarche s’inscrit pleinement dans la lignée des ambitions de la coopérative en termes de Nouvelle Agriculture ® et plus que jamais cohérent avec les attentes sociétales et le concept ONE Health.
La vaccination contre les 3 agents principaux des maladies respiratoires est une première étape dans la préparation des broutards. Pour gagner en efficience, des bonnes pratiques d’élevage du couple mère-veau sont des préambules à nécessaires.
[Référence : Plan Ecoantibio 2 – 2017/2021]
Des fiches de bonnes pratiques pour accompagner la démarche :
Trois fiches de bonnes pratiques à destination des naisseurs et des engraisseurs, élaborées avec l’lnstitut de l’Elevage, accompagnent le cahier des charges « Préparation sanitaire des broutards ».