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U communique dans la Presse Régionale en s’appuyant sur Terrena

La semaine de l’Agriculture a été l’occasion pour toutes les enseignes de montrer leur proximité avec le monde agricole.

 

Notre Partenariat avec U Enseigne leur permet d’illustrer leurs actions.

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U Enseigne a ainsi communiqué ce week-end dans la Presse Quotidienne Régionale (PQR), sur la « juste rémunération » pour les agriculteurs engagés dans ses filières, en en faisant un des axes de sa communication.

 

Cette communication met en avant les contrats U filières en Porc, dont celui signé avec TERRENA, où le prix de revient intervient à part égale avec la cotation et le prix de marché.

 

 

C’est Joël THOMAS, adhérent Terrena et éleveur de génisses NA à MAUZE-THOUARSAY dans le 79, qui illustre cette publication. A noter que ces génisses NA « Excellence » alimentent le dossier Bœuf charolais U Filière, vendu à marque U donc, au rayon Libre Service, en piécés, mais surtout en frais hachés.

 

 

Source visuels barquettes : Equipe Marketing Elivia

 

Autre mise en lumière de U Enseigne dans cette publication, pour ses steaks hachés surgelés à marque distributeur, et son action pour les rémunérations :

 

 » Système U, en lien avec Elivia, filiale de la coopérative Terrena, et Bigard, s’engage à compléter la rémunération des éleveurs, réunis en trois groupements de producteurs*, qui fournissent l’ensemble de la viande servant à l’élaboration des steaks hachés surgelés à la marque U, soit un volume de 1 700 tonnes de viande par an.

 

L’enseigne poursuit ainsi son action de soutien à la filière puisque 1 100 éleveurs recevront une rémunération complémentaire de 50 euros par bête, pour un total de 17 000 bêtes par an, soit 850 000 euros. »

 

(*) dont Ter’Elevage

 

(source : site zepros.fr

Ter’elevage, acteur de la filière viande

Ter’elevage œuvre depuis plus de 10 ans avec les interprofessions et les instituts nationaux de recherche tels que L’idèle (institut de l’élevage), l’INRAE ou Interbev afin d’innover pour la filière viande, rechercher toujours plus de valeur pour ses producteurs en amont, et assurer les débouchés auprès de ses clients en aval.

Quelques exemples (cliquez sur les liens pour les ouvrir):

 

 

Préparation sanitaire des broutards : Terrena pionnière

Depuis bientôt 15 ans, Ter’elevage est précurseur en termes d’innovation et d’accompagnement de la filière bovin viande en permettant aux naisseurs et engraisseurs de lutter contre les maladies respiratoires. Pour rappel, les pathologies respiratoires sont responsables de plus de 70% des troubles sanitaires en engraissement.

Depuis la création du contrat Broutard Max en 2006 et celle d’Alimax en 2020, Terrena ne cesse de performer pour proposer des solutions concrètes aux éleveurs.

 

Depuis décembre 2020, une nouvelle étape a été franchie avec la reconnaissance à l’échelle nationale !

 

Après plusieurs mois de concertations entre les différents acteurs régionaux et nationaux (FNB, commerçants indépendants, groupements coopératifs français, INTERBEV, IDELE), le cahier des charges INTERBEV «Préparation sanitaire des broutards » a été validé.Ce cahier des charges, largement inspiré du programme Broutard MAX déployé par Ter’elevage, permet au naisseur témoignant d’une vaccination effective de ses animaux contre les 3 principaux agents présents dans les maladies respiratoires, de prétendre à une rémunération complémentaire suivant un indicateur « coût de préparation ». Cette vaccination anticipée assure ainsi aux engraisseurs l’achat d’animaux protégés contre ces troubles respiratoires.

 

Cette stratégie de prévention vaccinale permet de limiter le recours aux antibiotiques, d’assurer une rentabilité économique des ateliers et le bien-être des animaux par la réduction des troubles sanitaires. Cette démarche s’inscrit pleinement dans la lignée des ambitions de la coopérative en termes de Nouvelle Agriculture ® et plus que jamais cohérent avec les attentes sociétales et le concept ONE Health.

 

La vaccination contre les 3 agents principaux des maladies respiratoires est une première étape dans la préparation des broutards. Pour gagner en efficience, des bonnes pratiques d’élevage du couple mère-veau sont des préambules à nécessaires.

[Référence : Plan Ecoantibio 2 – 2017/2021]

 

Des fiches de bonnes pratiques pour accompagner la démarche :

 

Trois fiches de bonnes pratiques à destination des naisseurs et des engraisseurs, élaborées avec l’lnstitut de l’Elevage, accompagnent le cahier des charges « Préparation sanitaire des broutards ».

 

 

Cliquez pour retrouver :

 

 

Marie-Anne LEFOL, vétérinaire Terrena, a participé dans ce cadre à la conférence « Grand Angle » de l’IDELE le 17 novembre dernier. Elle a eu l’occasion de témoigner sur l’offre Broutard Max de Ter’elevage récemment rénovée en septembre 2020.

 

Marie-Anne a présenté pour Ter’elevage l’expérience des 10 années de développement de solutions pour la collecte et la mise en marché de broutards vaccinés en amont contre les maladies respiratoires dans le cadre du programme Broutard MAX mis en place sur les bassins Pays de la Loire et Nouvelle Aquitaine.

 

Aujourd’hui, cette offre permet la mise en place d’un partenariat gagnant-gagnant entre les naisseurs et les engraisseurs de Ter’elevage. Elle a été complétée en 2020 par une seconde offre plus complète de préparation sanitaire (vaccination respiratoire, antiparasitaire, écornage) et alimentaire des Broutards : ALIMAX.

 

Les naisseurs allaitants peuvent ainsi à la fois bénéficier de la protection de leurs veaux pendant la phase lactée, et d’une rémunération supérieure avec des protocoles simplifiés, clairement établis et consensuels. En contrepartie, les engraisseurs investissent pour plus de sérénité et l’assurance de performances en engraissement avec moins de maladies, de traitements et de manipulations.

 

Pour revenir au cahier des charges INTERBEV « Préparation sanitaire des broutards », celui-ci permettra, dès 2021, de valoriser, encadrer, légitimer et promouvoir nos offres Broutard Max et Alimax en assurant les débouchés et en garantissant une rémunération complémentaire à l’éleveur tout en œuvrant pour une meilleure cohérence de la filière.

 

Grâce à ces actions, les opportunités pour la filière viande sont multiples.

4 bonnes raisons de vacciner ses animaux :

 

  • Investissement rentable pour chaque maillon,
  • Communication positive : vaccination = prévention = réduction des traitements antibiotiques en assurant le bien-être des animaux,
  • Efficacité reconnue et durable en complément de la maitrise des autres facteurs de risques,
  • Développement de la cohérence de la filière, plus structurée (traçabilité, contractualisation, décloisonnement entre naisseurs et engraisseurs).

 

Nous remercions Marie-Anne LEFOL, vétérinaire Terrena pour son implication dans les différents groupes de travail et notamment pour la mise en œuvre du cahier des charges INTERBEV « Préparation sanitaire des broutards », ainsi que les équipes Ter’elevage et Terrena qui œuvrent à la mise en place de ces différents projets. 

La valorisation des femelles laitières à Ter’elevage, retour d’expérience au GAEC Beaucé (35)

A l’occasion d’un reportage au GAEC Beaucé (35) pour le journal Paysan Breton, Ter’elevage a expliqué ses démarches pour des valorisations supplémentaires sur les femelles laitières. Découvrez l’article de ce mois de décembre ?.

Lire l’article au format PDF ? Article-PAysanbreton-122020

Merci au GAEC Beaucé et Jérémy de leur accueil ?

Pour tous renseignements sur les offres Ter’elevage ? Contactez votre technicien ou commercial ?

Engraissement de jeunes bovins ? Nos solutions JB GOLD

Ce mois-ci, l’engraissement des jeunes bovins est à l’honneur grâce au GAEC Valencour (49) dans le Cultivar Élevage ??

Gaec Valencour, Maine-et-Loire : Confort et ration optimisés pour les taurillons charolais

Engraisseurs, les quatre associés du Gaec Valencour, visent une production de qualité. Ils viennent de construire un bâtiment de quarantaine et peuvent ainsi affiner les rations pour les jeunes bovins.

Depuis un an, le Gaec Valencour, 388 ha, qui possède aussi un atelier de de 40 000 poules pondeuses, élève uniquement de jeunes taurillons. Situé à Gené en Maine-et-Loire, à 6 km de l’abattoir de Terrena au Lion d’Angers, il a arrêté l’élevage de vaches allaitantes pour se consacrer uniquement au métier d’engraisseur de jeunes bovins de race charolais, voire limousine. « Nous avons fait ce choix pour des raisons sanitaires mais aussi de rationalisation du travail, explique Cyrille Freulon, l’un des quatre associés du Gaec et responsable de la partie engraissement. Nous constatons depuis une baisse des maladies et des mortalités. » Pour atteindre un objectif de rentabilité, les places pour l’engraissement ont progressé, de 520 à 700 places, réparties sur deux sites à la suite du rachat d’une ferme située à 1,5 km. Ces changements ont perturbé la production de taurillons durant quelques mois. « Avec l’augmentation des taurillons, nous en avons profité pour construire un bâtiment de quarantaine, spécifie Cyrille. Et durant les travaux, nous avons passé moins de temps à la surveillance du troupeau. » Car l’observation est un travail à part entière pour le Gaec Valencour. « Chaque soir, nous passons une heure à observer le comportement des animaux, précise l’éleveur, à voir comment ils se nourrissent, les quantités éventuel/es de refus et l’état des déjections. Il suffit par exemple de les entendre taper contre les portes pour savoir qu’ils sont perturbés. Un changement dans la ration peut en être à l’origine. »

Des pesées tous les deux mois
Nettoyage plus facile, observations et manipulations plus aisées des animaux, distribution pratique du foin, les tâches effectuées dans le bâtiment ont été largement étudiées. Chaque animal a une place à l’auge. « Ainsi, il est plus facile d’exercer notre surveillance, note Cyrille. Nous savons que le manque d’appétit ne viendra pas d’une déshydratation non identifiée.» Le bâtiment équipé d’un parc de contention en demi-lune facilite les manutentions pour mener les animaux vers la bascule. En 4 heures, 240 animaux sont ainsi pesés. Les données sont transférées sur l’application Conselio bovins, un outil de suivi des productions chez Terrena. « Ces informations s’intègrent dans un schéma de planification de la production et de la commercialisation des jeunes bovins. Trois semaines à l’avance, Cyrille peut nous indiquer le nombre de taurillons prévus à l’abattage. Et en amont, nous pouvons optimiser la collecte des broutards avec nos adhérents. Ce fonctionnement rentre dans le cadre d’un programme appelé Jeunes bovins gold. Ainsi le contrat, appelé Cap sérénité (Contrat objectif partagé), établi entre l’éleveur et Terrena conforte ce schéma de production. Il garantit une marge par jeunes bovins avec des prix de reprises de chaque lot», explique Sébastien Guédon, conseillerîer’Elevage, groupement bovin viande de Terrena. Pour la plupart, les broutards proviennent de naisseurs du Grand Ouest mais également du Centre de la France. Tous les broutards, âgés de huit à dix mois, bénéficient d’une préparation sanitaire avant d’arriver chez l’en graisseur qui doit effectuer les rappels de vaccins nécessaires. Au bout de huit à dix mois, les taurillons ont atteint les 700 kg de poids vifs avec une QMG de 1 550 g. En cette fin juillet, la chaleur caniculaire de la veille (31 °C) ne semble pas avoir perturbé les taurillons. Un air frais circule dans les bâtiments très aérés. Depuis l’installation du bâtiment de quarantaine, les broutards ont droit à une ration dite d’adaptation. Grâce au logiciel de ration utilisé par Terrena, toutes les données concernant la ration sont établies précisément et peuvent être transmises aux associés. « Lorsque le temps d’ingestion passe à deux heures, précise Cyrille, nous augmentons la ration de croissance jusqu’à atteindre les quatre heures d’ingestion. »

 

Une ration très contrôlée
Le foin donné exclusivement durant deux ou trois jours est alors remplacé progressivement par un mélange à base d’ensilage de trèfles (16 %), d’herbe (10,50 %}, de paille (1,80 %), de maïs grain humide (7 0/o), de pois et d’orge ( 4,50 %), correcteur azoté de 35 MAT (8,00 %), d’un alimentliquide (1,80 %) et d’eau (7,4 %). Le maïs grain humide moins acidogène que les céréales permet de limiter les troubles métaboliques comme l’acidose. Depuis l’introduction de l’eau dans la ration, l’éleveur note que les animaux consomment davantage. Et grâce à une pompe doseuse, les médicaments, les compléments nutritionnels comme les extraits de plantes utilisées en prévention contre les diarrhées, les infections ou les problèmes métaboliques, sont injectés directement dans l’eau de la ration. Le suivi de croissance grâce aux pesées permet d’ajuster la ration en fonction des variations de qualité nutritionnelle des fourrages grossiers qui surviennent inévitablement au cours de la production.

Marie-Dominique Guihard • Extrait tiré du CULTIVAR SEPTEMBRE 2020 • 27 

Pour lire l’article complet ?? article-cultivar-092020-engraissementJB

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